– En débat, parce que les dessertes ne sont pas au rendez-vous pour les LGV réalisées, des promesses non tenues qui n’engageaient que ceux qui y ont cru…instructif, et qui plaide pour ne pas en réaliser d’autres!
Horaires TGV Châtellerault- Paris: aucune avancée
Centre Presse – Pour beaucoup d’usagers de la ligne Châtellerault-Paris, la desserte n’est pas satisfaisante depuis la mise en service de la LGV, le 1 juillet dernier. Si le nombre de trains reste convenable (cinq par jour, en semaine, dans chaque sens), certains horaires sont pointés du doigt, en particulier par le monde …
TGV supprimés: les élus charentais dénoncent le « mépris » de la SNCF et de l’Etat
Charente Libre – La Charente a participé à création de la ligne LGV à hauteur de 40 millions d’euros. Alors, ou, ça peut sembler être dérisoire pour un chantier à 8 milliards, mais si on avait su que la SNCF se comporterait ainsi, on n’aurait pas participer. Avec 40 millions, on aurait pu financer 4 TER pendant 30 ans ».
–En débat encore, pour les LGV programmées, mais non encore confirmées: la « Loi mobilités » est en préparation pour 2018; dans ce contexte, les contributions sont nombreuses sur le site des « Assises de la mobilité » (voir notre article précédent). Bien entendu, des élus décideurs en région insistent pour que les lignes LGV, (Grands Projets Inutiles et Imposés pour les habitants et opposants, dont le CADE fait partie), soient réalisées : un combat de contributions en ce moment où la loi va s’écrire…http://www.elunet.org/spip.php?article102766,Régions de France vient de publier le« Livre blanc des Régions pour la mobilité ».
Ce document synthétise les propositions que font les Régions pour le développement des transports du quotidien, dans le cadre des Assises de la mobilité.
“Les Régions sont un acteur essentiel de la mobilité sur les territoires. Ce Livre Blanc fait état de l’ensemble des sujets que nous souhaitons voir traités, notamment dans le cadre des Assises de la mobilité”, a expliqué Michel Neugnot lors d’une conférence de presse au siège de Régions de France. La réforme territoriale a considérablement renforcé le rôle des Régions en matière de mobilité. Elles sont désormais compétentes sur l’ensemble de la chaîne des transports non urbains et des transports scolaires, ainsi que sur l’intermodalité. Un tiers de leur budget, soit plus de 11 milliards d’euros par an, est consacré aux transports et à la mobilité. Mais de nombreux blocages et incertitudes pèsent sur les ressources des Régions, réduisant leur capacité à développer les transports du quotidien, pourtant érigés en priorité par le gouvernement. D’où ce Livre Blanc de propositions pour “une nouvelle donne régionale”, notamment dans la perspective de la loi mobilités en préparation pour 2018.